Profil

Agathe BESSARD
Une passion grandissante : Passionnée, persévérante, rigoureuse
Née le 28 janvier 1999
Lycéenne :
Entre en 1ère S (scientifique) en pôle espoir (SSE), libérée l’hiver, au Lycée Ambroize Croizat à Moutiers (savoie), préparation du baccalauréat en 4 ans au lieu de 3 Je vais pouvoir allier étude et ma passion : le skeleton
Sportive depuis toute petite :
Gymnastique artistique en compétition jusqu’à l’âge de 10 ans
Ski en club et en compétition de l’âge de 7 ans à 14 ans et continue en section grand prix afin de pouvoir préparer le monitorat.
Pratique de la luge par intermittence en attendant avec impatience d’avoir 14 ans, l’âge de pratiquer le skeleton, sur la piste de la Plagne réputée pour être l’une des plus techniques du circuit international.
Skeleton :
Début de la pratique en novembre 2013.
Progrès rapides et demande de dérogation pour partir du départ Bob en février 2014
1ère française de 15 ans à partir du départ Bob à la Plagne. Vitesse atteinte de 118 km/heures
Détectée par l’entraîneur Suisse en mars 2014 qui va construire un skeleton performant.
Intégrera l’équipe Suisse pour le début de saison 2014/2015 avec les entraînements internationaux à IGLS (Autriche) pour réglage du skeleton et découverte d’une nouvelle piste.
Préparation physique :
Avec le collectif luge/skeleton du club de Bob, Luge, Skeleton de La Plagne composé de 07 jeunes prometteurs et sous l’autorité de Maija TIRUMA (lettone), ex lugeuse de haut niveau, 5ème mondiale et 9ème aux J.O de Vancouver.
Un sport hors du commun : le Skeleton
Ivresse de la vitesse et défi personnel
Cette discipline, apparentée à la luge, se différencie de cette dernière puisque les concurrents sont allongés sur le ventre (et non sur le dos), la tête assez en avant par rapport à l’engin. Le principe est toujours de descendre une piste glacée le plus rapidement possible.
La maîtrise et notamment le freinage de l’engin, s’opère avec des souliers équipés de griffes et la pression qu’exerce l’athlète avec ses épaules et les genoux. Cela lui permet de changer la direction de l’engin sur la glace. Les vitesses atteintes sont supérieures à 120 Km/h et la pression subie peut rapidement s’élever au-delà de 5G.
Ce n’est qu’en 1999 que le skeleton sera reconnu et inscrit au programme olympique des Jeux de Salt Lake City 2002.